Dijo Saint-John Perse en su discurso de aceptación del Premio Nobel de Literatura: Basta al poeta ser la mala conciencia de su tiempo.
Il naissait un poulain sous les feuilles de bronze. Un homme mit des baies amères dans nos mains.
et la plume savante au scandale de l'aile.
Les armes au matin sont belles et la mer.
à nos chantiers tirant d'immortelles carènes!
Aux pays fréquentés sont les plus grands silences, aux pays fréquentés de criquets à midi.
(L'ombre d'un grand oiseau me passe sur la face.)
et la célébrité du jour sur les rades foraines;
Fais choix d'un grand chapeau dont on séduit le bord.
Terre arable du songe! Qui parle de bâtir?
Mon cheval arrêté sous l'arbre qui roucule
sábado, 16 de mayo de 2009
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